Une cousine sodomisée par son cousin pervers
Salut, je m’appelle David et j’ai 24 ans, je suis ici pour vous raconter comment je me suis retrouvé à coucher avec cousine Annie. Cette confession intime sera peut-être décriée, mais ma cousine n’est plus une enfant. Du haut de ses 21 ans, elle sait très bien ce qu’elle fait, alors s-il-vous-plait ne jugez pas!
Une histoire aussi excitante que ma cousine
L’histoire est encore fraiche, mais elle restera gravée dans ma mémoire pendant longtemps. Les faits que je vais relater se sont déroulés le mois dernier, mais rien qu’en y pensant l’excitation s’empare de moi. Les détails encombrent ma mémoire et laisseront donc peu de place à l’exagération, ou l’approximation.
Pour débuter, je vais vous donner quelques information sur le physique de ma cousine. C’est vraiment une très belle femme. Cela ne vaut certainement pas circonstances atténuantes, mais peut-être un peu de compréhension sur la tournure des événements en question.
Sachez que ma cousine Annie est une fille très sexy, elle attire l’œil car c’est une blonde aux yeux bleus de grande taille. Imaginez une « poupée Barbie », avec un visage magnifique, des jolis petits seins, et une paire de fesses bien rondes. Si elle existait, cette poupée s’appellerait Annie, pas Brigitte Bardot, ni Pamela Anderson.
Quand elle marche, tout le monde la regarde, comme si elle débarquait tout droit de Vénus. Les gens sont surtout impressionnées par ses fesses magnifiques, mais rien n’est à jeter. Mais il est normal d’être subjugué par un si beau cul, le genre de cul qui ferait bander un mort, littéralement !
Une enfance passée trop vite
Nous avons passé une bonne partie de notre enfance ensemble, comme frères et sœurs. Nos parents respectifs partageaient un pavillon en banlieue lorsque nous étions enfants. Le temps à filé, nous avons vite grandi et nous nous sommes séparés. C’était il y a quatre ans.
Depuis, je réside sur Paris, c’est cher mais pour la poursuite de mes études, mais nous sommes tout de même restés très proches avec Annie. Depuis quelques mois il arrive qu’elle dorme à la maison. Bien qu’on ne puisse pas qualifier mon petit studio du 19ème arrondissement de maison.
Et déjà des retrouvailles câlines
Mais étant à quelques centaines de mètres du stage qu’avait décroché ma cousine, il était tout de même bien pratique. Encore une fois « bien pratique » n’était pas la bonne expression. En fait il était si minuscule que nous devions partager mon lit pour dormir.
Je ne vais pas vous cacher que tout ça n’était pas pour me déplaire, pas pour les rasons que vous pensez, non. J’appréciais juste ces moments de complicité où nous discutions de tout et de rien jusqu’à tard dans la nuit…
Les fantasmes d’un grand cousin
Je dois pourtant admettre que je n’étais pas insensible au contact de son corps quand elle se collait contre moi. Il faut savoir qu’annie adorait les câlins, mais sans arrière pensée, du moins je le croyais. Cependant, certaines nuits, je suis obligé d’avouer avoir pas mal fantasmé sur elle. Mais je n’avais jamais osé lui faire part de ces fantasmes…
Pour résoudre ce problème j’ai pris la décision d’acheter un canapé convertible, juste pour de ne plus dormir avec elle. Surement car je n’étais pas très fier d’avoir du désir sexuel pour ma cousine. J’étais certain que ce désir n’était là que parce que nous dormions ensemble.
Visite surprise
Mais avant cet achat ma cousine est venue me rendre visite, elle ne devait pas dormir chez moi mais chez « exceptionnellement ». Ses copines étaient toutes avec des garçons, et pas le genre à s’encombrer d’une si belle fille en présence de leurs copains. Elle n’invitait Annie à dormir que lorsque cette dernière ne représentait pas un danger, quand ils étaient absents.
Petite soirée sympa cousins cousines
Nous avons discuté, mangé, et on a bu quelques verres, avant de regarder un blu-ray. Après le film nous nous sommes aperçus qu’il était déjà très tard et qu’elle venait de louper le dernier métro. Elle devais donc passer la nuit chez moi, il était hors de question d’engraisser un taxi.
Ce n’était pas la première fois que cela se produisait et nous nous sommes retrouvé tous les deux dans mon lit à discuter. Nous parlions du bon vieux temps avec une certaine nostalgie.
Avec un peu d’émotion dans la voix je lui ai fait part de mon intention d’acheter un canapé. Ma cousine me demanda pourquoi, et je lui Je répondit que je trouvai « limite » qu’on dorment ensemble à notre âge.. Pour atténuer, je rajoutai qu’elle pourra ainsi dormir plus confortablement à l’avenir.
Curieusement, elle semblait un peu déçue d’apprendre que nous dormions ensemble pour la dernière fois. Elle me regarda, les yeux chargé d’émotion et me dit qu’elle aimait bien dormir collée contre moi. Tristement, elle ajouta que ça allait sans doute lui manquer… Une larme coula sur sa joue et atterrit sur son décolleté plongeant.
L’occasion fait elle le larron ?
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je n’ai pas pu m’empêcher de la prendre dans les bras, pour me coller très fort contre elle. Je lui répondit plein d’audace que puisque c’était la dernière nuit, il fallait en profiter.
Puis sans réfléchir plus que ça, j’ajoutai que j’aimerai la sentir tout près de moi, pour notre dernière nuit à dormir dans le même lit. Elle me répondit, « tu va voir ce que tu va voir », d’un air de défi ». Puis elle ajouta » allez au dodo » en relevant la couette du lit pour que nous puissions nous y enfourner.
Quand le diable s’invite
Une fois sous la couette, ma cousine me tourna le dos, mais avant que je ne me pose la moindre question, elle fit le premier pas. saisit ma main pour la poser sur son ventre, en prétextant avoir froid. En moins de 3 secondes, des centaines de mauvaises pensées me traversèrent l’esprit, le diable s’invitait dans notre lit. Ne l’écoutant pas, ou juste un peu, je me suis contenté de caresser son ventre à travers son t-shirt. Il gagne toujours…
Le bouc gagnait du terrain, peu à peu, ma main glissait sous le tissus, je sentais alors la douceur de sa peau brulante sous mes doigts. Annie faisait comme si de rien n’était, Je ne sais pas ce qui m’a prit à ce moment là mais j’ai laissé descendre ma main pour jouer avec l’élastique de sa culotte. Il me semblait sentir la naissance de ses poils, mais je n’en était pas certain.
Rester sage, rester sage
Ma cousine de disait rien heureusement, mais je senti que je dépassai les bornes et qu’il valait mieux rester sage. Je me résignai doucement à retirer ma main. Mais avant que je puisse le faire, ma cousine la poussa vers le bas de quelques centimètres. Impossible de savoir si c’était planifié ou si c’était involontaire.
J’étais pétrifié, je ne savais plus quoi faire, dormir ou me jeter à l’eau. Si elle n’avait pas les même envies que moi je risquais de me faire jeter, et surtout de passer pour un pervers. J’adorais Annie et la dernière chose que je voulais qu’elle pense de moi c’était que j’étais en réalité un gros dégueulasse.
Rester sage, ça ne dure qu’un temps
Comme pour répondre à ma question, ma cousine prit soudainement ma main pour la mettre entre ses cuisses. je ne savais plus quoi faire mais je pouvais sentir que sa petite culotte était trempée, Annie mouillait pour moi… Je ne pouvais plus reculer, mais encore moins avancer, j’étais en plein dilemme.
Pendant que je me posais mille questions, mon sexe se mettait à bander irrémédiablement contre ses petites fesses moelleuses. Annie était obligé de s’en rendre compte tant je me serrait contre elle. Elle simula alors de se réveiller, et me dit qu’elle s’était endormie, et qu’elle avait besoin d’un verre d’eau.
Je ne lui en voulais pas de s’être dégonflée, c’était surement le mieux à faire, me mentais je. Elle est vite revenu et commença à boire son verre d’eau. Elle paraissait tout de même un peu mal à l’aise, c’était normal vu la situation. J’imaginais qu’elle était gênée de notre comportement et qu’elle avait décidé d’y mettre un terme.
La débandade
Inutile de préciser que mon érection s’était ramollie et je pensais qu’on allait enfin pouvoir dormir. J’avoue que quelque part je me sentais rassuré que tout cela s’arrête… Mais il n’en était rien, ma cousine se recoucha le dos contre moi en me collant encore plus, et très vite elle replaça ma main entre ses cuisses.
Au lit, avec ma cousine sans culotte
C’est à ce moment que tout prenait du sens, à ma grande surprise ma cousine avait retiré sa petite culotte ! Il n’y avait plus de doute possible, Annie voulait que je lui fasse l’amour… J’ai donc décidé de tenter le tout pour le tout. Mon érection reprit de plus belle , alors d’un coup je pris son genou pour écarter sa jambe, tout en plaquant l’autre sur la totalité de sa chatte nue.
Je n’en croyais pas ma main, elle mouillait comme une salope… Comme vous pouvez vous en douter ma cousine ne fit rien pour m’arrêter, bien au contraire, très vite sa main se retrouva dans mon caleçon… Annie savait s’y prendre et elle me branlait tendrement au départ, puis furieusement. Malgré notre rapprochement aucun de nous n’osait parler.
Les caresses se précisent
Nous voulions juste prendre du plaisir, en profiter au maximum. Annie se mit à écarter encore plus ses cuisses pour que je puisse la doigter. Tandis que mes doigt s’engouffrèrent au plus profond de son intimité trempée de mouille, je guidais sa main vers mes couilles. J’essayais de doigter au mieux sa chatte offerte et ouverte au maximum à mes caresses.
Petit quiproco
Finalement, elle se retourna vers moi et me dit » j’en mourais d’envie depuis des années « . Je ne sais pas pourquoi , mais dans le feu de l’action je mentis un peu en répondant » moi aussi « . Elle m’embrassa alors à pleine bouche pendant qu’elle jouait avec mes couilles, puis ma lâcha un « je t’aime » qui faillit casser l’ambiance…
La seule réponse étant « moi aussi », je me suis fait violence… Pour le moment pas de quoi s’alarmer, et je ne voulais pas que sa tourne en eau de boudin. Heureusement après quelques baisers très profond, et malgré les sentiments qui s’invitait à la fête, j’étais au summum de l’excitation. Je me suis donc débarrassé de mon caleçon pour passer au choses sérieuses.
Du plan love au plan cul
Je doigtai sauvagement sa chatte depuis quelques minutes et j’avais terriblement envie de la baiser. Sans le moindre état d’âme, j’ai donc mis mon gland à l’entrée de son vagin et m’apprêtai à pousser un grand coup. Mais Annie me confia qu’elle ne prenait pas la pilule, et me demanda ensuite si j’avais des capotes… Misère, évidemment je n’en avais pas…
Cela faisait bientôt 6 mois que je n’avais pas de rapport sexuels et je n’avais pas anticipé notre petite sauterie. Ma cousine, surement un peu déçue, décida de se mettre tête bêche sur moi. Elle fit une pause de quelques secondes, et commença à me faire une fellation. Je ne suis pas un pro du cunni mais j’avais compris que je la lèche vue la petite pause.
Descente à la cave, pour boire un bon cru de mouille
En voyant sa jolie chatte trempée de désir, je me disais que la lécher était à présent ma seule chance de la faire jouir… Je me jurai alors d’avoir toujours des préservatifs chez moi à l’avenir. Pour le moment, même si je n’était pas accro au « léchage de chatte », il fallait que je m’y colle. Et puis, elle le méritait bien, au vu de la qualité de sa fellation.
C’était la moindre des choses de lui faire un cunnilingus, finalement. Et puis franchement, je elle suçait tellement bien que je planais, petit à petit, le cunni ne me dégoutait même plus… C’était totalement irréel, mais j’étais bien en train de faire un 69 avec ma cousine, une bombe sexuelle.
Curieusement, je commençais à prendre du plaisir à la brouter, c’était la première fois que j’appréciais cette pratique. Il faut dire que sa chatte avait un goût délicieux, et fondait de plaisir dans ma bouche, j’étais » aux anges « . Je comprenais enfin ce que voulait dire » un bon goût de mouille « . D’habitude ça goûtait beaucoup moins bon.. Il faut dire que les filles que j’avais léché jusqu’à présent n’était surement pas aussi propre qu’Annie.
69 Bestial
Petit à petit cela devenait bestial. Je la léchais comme si ma vie en dépendais, ne lésinant ni sur ma salive, ni sur mon application à explorer sa jolie moule poilue. L’excitation guidait ma langue vers son petit trou du cul, tandis que je la doigtais de plus en plus vite. Ma petite salope de cousine gueulait comme une truie en se faisant bouffer l’anus et la chatte. Elle devait être hyper excitée de se faire brouter les trous par son grand cousin, de mon coté c’était juste le plus beau moment de ma vie…
Au moment même où j’allai jouir mon sperme au fond de sa gorge, ma cousine exerça une forte pression sur la base de ma queue. L’effet fut immédiat et je n’avais plus du tout envie de gicler. Ma cousine arrêta d’un coup de me sucer et plaça son sexe au dessus de ma queue. Je me disais qu’elle voulait finalement baiser, j’y était presque.
Ma bite dans le cul de ma cousine
Mais au lieu de l’insérer dans son vagin, cette petite cochonne fit pénétrer ma bite dans son anus. Il était tellement lubrifié par ma salive et sa mouille, qu’il glissa d’un coup jusqu’à la garde. Mais après réflexion, il était clair que ce n’était pas la première fois qu’Annie se prenait une bite dans le cul…
Pendant que je la sodomisai sans la ménager, cette petite pute frétillait du cul comme si elle faisait ça tous les jours. Ma salope de cousine semblait vraiment prendre du plaisir. Elle était même plus que ravie de se faire démonter son anus, la chienne. Je lui est donc demandé de se mettre en position de levrette pour pouvoir l’enculer à fond, elle s’exécuta.
Je remis ma grosse teub au fond de son cul bien a fond, et pendant que je l’enculai je doigtai sa petite chatte poilue. Sa moule n’avais plus grand chose à voir avec un sexe féminin. Elle ressemblait plus à ce qu’on pourrait appeler une « grosse cramouille mouillée ». Elle était toute rouge et gonflée de désir tant l’excitation de se faire péter le fion était forte.
Longue sodomie pour la fille de tata et tonton
Je lui ai bien bourré le trou de balle à fond pendant 5 bonnes minutes, sans ralentir. Ma petite pute de cousine gueulait de douleur et de plaisir pendant cette sodomie profonde. Je ne la comprenais plus, Annie pleurait mais me demandait de l’enculer encore plus fort. Ma cousine chérie devenait folle de plaisir et sa chatte lahait carrément des petit jet de mouille.
Je finis par éjaculer un bon litre de sperme dans son anus totalement dilaté. Pour être honnête, peut être pas un litre, mais je lui ai mis la dose de sperme dans son cul. Annie l’avait bien mérité, cette salope…
Depuis ma cousine n’etait pas revenu chez moi mais elle m’a envoyé un sms il y a quelques jours. Elle m’a remercié de mon accueil et voulait savoir si elle pouvait revenir me faire un coucou très bientôt. J’ai répondu oui, je crois bien que je l’aime « un peu » cette cousine coquine :-).
Note de cette histoire de cul : ce témoignage est noté 15/20
Rencontrer une salope pour l’enculer
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